Saint-Saturnin-les-Apt possède un des plus importants vergers de cerisiers qui se couvrent de leurs fleurs blanches au printemps.
« Où renonce l’olivier, finit la Méditerranée ». Arbre des pays du soleil dont l’histoire se confond avec celle de l’humanité, il est symbole de paix et de fécondité. Paré de toutes les vertus, l’olivier occupe une place privilégiée dans le coeur des Provençaux.
Son huile, toujours associée à des images de soleil et de vie saine, est l’âme de la cuisine méditerranéenne. Et même si les techniques d’aujourd’hui bousculent les traditions, les méthodes de fabrication se perpétuent et la saveur de ce pur jus de fruit naturel reste comme au premier jour. Ronde ou ardente, douce ou fruitée, puissante ou légère, il en est des huiles d’olive comme des meilleurs vins.
Les origines de la « Lavandula Stoechas » se trouvent dès l’époque romaine où on l’utilisait déjà pour parfumer les bains et entretenir le linge. Les naturalistes romains la rangeaient même au nombre des « plantes précieuses ». Ce n’est qu’au Moyen-Age que l’on voit apparaître le terme « lavande » issu du latin « lavare » qui signifie laver. Utilisée pour lutter contre les maladies infectieuses, on trouvait la lavande à cette époque essentiellement dans les jardins des monastères. Cette lavande dite «commune» ou «sauvage» n’avait d’autre utilité que de nourrir les abeilles! Ce n’est qu’à partir du XIXème siècle que la culture se développe.
Le raisin et le vin